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Rennes
16 Médias
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18/01/2017
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3264 x 4928 pixels
La Grand'Chambre est la pièce la mieux conservée du palais. Protégée de l'incendie par les autres salles, elle a en outre bénéficié de la protection d'un lit de briques réfractaires, situé entre le plafond et la charpente, installé lors d'une restauration par l'architecte Laloy au XIXe..Le plafond à caissons (flotté de Paris jusqu'à Rennes lors de sa construction) et toutes les peintures le composant est conçu par Charles Errard en juin 1656 : il fournit des dessins pour l'ensemble du décor et des tapisseries. C'est Noël Coypel qui s'occupe de la réalisation de la totalité des peintures d'après les indications de Errard. Elles arrivent par bateaux à Rennes en 1662 et l'ensemble du plafond est achevé en 1665..Le plafond est un ensemble de peintures organisées autour d'une œuvre hexagonale centrale : La Justice, ou Minerve. Quatre médaillons circulaires sur chaque coin du plafond (La Justice arrachant son masque à la Fraude, La Piété et la Foi du Serment, Minerve chassant la Calomnie, L'Autorité de la Loi) sont reliés par des caissons intermédiaires (La France protégeant la Justice et La Bretagne protégeant L'Innocence) sur le petit côté de la salle. Sur le grand côté, deux tableaux oblongs encadrent l'octogone central : La Sincérité et La Félicité publique. Entre ceux-ci et les médaillons, on trouve quatre tableaux trapézoïdaux mettant en scène la justice et peint sur bois en camaïeu sur fond d'or par Charles Errard. Le décor est un précieux témoignage des décors monumentaux officiels (hors châteaux et palais privés ou royaux) du XVIIe, les exemplaires parisiens ou autres ayant le plus souvent disparu..Des loges ont été aménagées spécialement en cas de visites royales (mais ceux-ci ne les employèrent jamais). Sur les murs, une tapisserie représente une abeille et la lettre N, symboles de Napoléon III. Au fond de la salle, une unique tapisserie, rescapée de l'incendie de 1994, représente la mort du connétable Du Guesclin. En 1997, pour comble de malheur, l'incendie de l'atelier de restauration Bobin, où la moitié des tapisseries avait été envoyée, les anéantit complètement. La moitié préservée est pour l'heure conservée au Mobilier national. Il s'agissait d'un ensemble de tapisseries d'époque 1900, retraçant l'histoire de la Bretagne et réalisées d'après les cartons d'Édouard Toudouze et Auguste-François Gorguet par la manufacture des Gobelins. Les cartons ayant été retrouvés, il sera possible de retisser l'ensemble mais le carnet de commande de la manufacture des Gobelins est pour l'instant complet pour de nombreuses années..
09/05/2014
Julien Danielo
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09/05/2014
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La Grand'Chambre est la pièce la mieux conservée du palais. Protégée de l'incendie par les autres salles, elle a en outre bénéficié de la protection d'un lit de briques réfractaires, situé entre le plafond et la charpente, installé lors d'une restauration par l'architecte Laloy au XIXe..Le plafond à caissons (flotté de Paris jusqu'à Rennes lors de sa construction) et toutes les peintures le composant est conçu par Charles Errard en juin 1656 : il fournit des dessins pour l'ensemble du décor et des tapisseries. C'est Noël Coypel qui s'occupe de la réalisation de la totalité des peintures d'après les indications de Errard. Elles arrivent par bateaux à Rennes en 1662 et l'ensemble du plafond est achevé en 1665..Le plafond est un ensemble de peintures organisées autour d'une œuvre hexagonale centrale : La Justice, ou Minerve. Quatre médaillons circulaires sur chaque coin du plafond (La Justice arrachant son masque à la Fraude, La Piété et la Foi du Serment, Minerve chassant la Calomnie, L'Autorité de la Loi) sont reliés par des caissons intermédiaires (La France protégeant la Justice et La Bretagne protégeant L'Innocence) sur le petit côté de la salle. Sur le grand côté, deux tableaux oblongs encadrent l'octogone central : La Sincérité et La Félicité publique. Entre ceux-ci et les médaillons, on trouve quatre tableaux trapézoïdaux mettant en scène la justice et peint sur bois en camaïeu sur fond d'or par Charles Errard. Le décor est un précieux témoignage des décors monumentaux officiels (hors châteaux et palais privés ou royaux) du XVIIe, les exemplaires parisiens ou autres ayant le plus souvent disparu...Des loges ont été aménagées spécialement en cas de visites royales (mais ceux-ci ne les employèrent jamais). Sur les murs, une tapisserie représente une abeille et la lettre N, symboles de Napoléon III. Au fond de la salle, une unique tapisserie, rescapée de l'incendie de 1994, représente la mort du connétable Du Guesclin. En 1997, pour comble de malheur, l'incendie de l'atelier de restauration Bobin, où la moitié des tapisseries avait été envoyée, les anéantit complètement. La moitié préservée est pour l'heure conservée au Mobilier national. Il s'agissait d'un ensemble de tapisseries d'époque 1900, retraçant l'histoire de la Bretagne et réalisées d'après les cartons d'Édouard Toudouze et Auguste-François Gorguet par la manufacture des Gobelins. Les cartons ayant été retrouvés, il sera possible de retisser l'ensemble mais le carnet de commande de la manufacture des Gobelins est pour l'instant complet pour de nombreuses années..
09/05/2014
Julien Danielo
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4928 x 3264 pixels
La salle du conseil de la Grand’Chambre, devenue ensuite première chambre civile, comporte un plafond à compartimentage boisé et mouluré, réalisé par François Gillet et Pierre Dumesnil entre 1670 et 1679. Ce plafond est orné d'un ensemble de peintures magistral, réalisé à Paris à partir de 1694 par Jean-Baptiste Jouvenet. Au centre, figure le Triomphe de la Justice octogonal, encadré par quatre médaillons représentant l'Étude, la Connaissance, l'Équité et la Piété.
09/05/2014
Julien Danielo
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31/10/2012
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La porte mordelaise note est un châtelet d'entrée, vestige des remparts de Rennes. Son emplacement date du IIIe siècle, à la création des premiers remparts, mais son architecture date principalement du XVe siècle. Il síagissait de líentrée principale de la ville de Rennes...Elle tient son nom de la ville de Mordelles, fief important dès le XIe siècle vers lequel donne la porte. Les futurs ducs devaient prêter serment devant cette entrée, elle est ainsi parfois nommée porte royale, porte ducale ou porte épiscopale..
09/05/2014
Julien Danielo
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La salle des pas-perdus a été entièrement refaite suite à l’incendie de 1994 : elle se trouvait juste en dessous du foyer. On y accède par une porte monumentale représentant la Justice et la Force. C’est originellement une salle d'attente et n’est actuellement plus qu’un lieu de passage vers les autres pièces ou parties du palais. C’est une très grande pièce de 36,60 mètres de long pour 12,80 mètres de large...La voûte formant le plafond culmine à treize mètres de haut et repose sur des pieds de sept mètres surmontés d’une corniche corinthienne. Au centre du plafond, une représentation des armoiries du royaume de France et de la Bretagne encadrés par dix génies et les symboles du Saint-Esprit symbolise à nouveau l’union de la Bretagne à la France..
09/05/2014
Julien Danielo
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18/01/2017
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3264 x 4928 pixels
La porte mordelaise note 1 est un châtelet d'entrée, vestige des remparts de Rennes. Son emplacement date du IIIe siècle, à la création des premiers remparts, mais son architecture date principalement du XVe siècle. Il s’agissait de l’entrée principale de la ville de Rennes...Elle tient son nom de la ville de Mordelles, fief important dès le XIe siècle vers lequel donne la porte. Les futurs ducs devaient prêter serment devant cette entrée, elle est ainsi parfois nommée porte royale, porte ducale ou porte épiscopale..
09/05/2014
Julien Danielo
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3264 x 4928 pixels
09/05/2014
Julien Danielo
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18/01/2017
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Après la présentation de projets non réalisés en 1921 et 1922, le programme de la piscine s'inscrit dans un lot de travaux lié à la restauration du palais Saint-Georges. La piscine fut construite entre 1923 et 1926 à l'emplacement de l'ancienne église Saint Georges, sur les plans de l'architecte de la ville Emmanuel Le Ray. Alain Bourget dessine les décors en relief de la façade réalisés par les céramistes Gentil et Bourdet. Ces derniers sont les auteurs des décors de grès flammé des façades et du vestibule. Odorico réalise la mosaïque du bassin.
09/05/2014
Julien Danielo
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Le palais du parlement de Bretagne, souvent appelé simplement le parlement de Bretagne, est un bâtiment d'architecture classique construit au XVIIe siècle, situé à Rennes, en Ille-et-Vilaine, et qui fut le siège du parlement de Bretagne de sa construction jusqu’à sa dissolution par la Révolution française en février 1790, en dehors de son « exil » à Vannes de 1675 à 1689...L’édifice devient la cour d'appel de Rennes en 1804. Ce monument a été entièrement restauré après l’incendie du 5 février 1994, conséquence d’un incident lié aux violentes manifestations de marins-pêcheurs. Dans des locaux adaptés aux exigences du XXIe siècle, la cour d'appel de Rennes a pu reprendre l’activité qu’elle y déployait depuis près de deux siècles. L'ensemble des autres juridictions a rejoint la cité judiciaire à l'architecture très contemporaine, inaugurée en 1983 dans le quartier de la Tour-d'Auvergne, ou d'autres bâtiments encore..