Reportages sécurisés

Photothèque

Madagascar

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07/01/2014
Julien Danielo
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    • Ce petit îlot attire l'attention par sa forme, il interpelle en faisant remonter à la surface tout un imaginaire maritime mais au final on est surpris par sa véritable fonction. Situé entre Nosy Be et Nosy Sakatia, c'est l'île aux morts, les princes Sakalava y sont déposés une fois passés à trépas et exposés jusqu'à totale décomposition puis enterrés. Cette tradition existe partout dans le monde dans certaines cultures concernant les familles princières, notamment en Espagne, on appelle ça un pourrissoir. Rappelons le culte extrêmement important de celui des ancêtres à Madagascar. L'île est bien entendu interdite d'accès car protégée par un fady transmis de génération en génération.
28/12/2013
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
07/01/2014
Julien Danielo
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    • 3264 x 4928 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 3264 x 4928 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 3264 x 4928 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
06/01/2014
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 3264 x 4928 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardien, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 3264 x 4928 pixels
    • Utopiks Loustiks est une association type loi 1901 qui a pour but la scolarisation d'enfants vivant à Nosy Be et qui n'ont jamais été à l'école. Créée en 2011, l'association est divisée en deux antennes, la première, française, cherche les fonds et donne les directives, la seconde, malgache, assure la logistique sur le terrain. Actuellement 25 élèves âgés entre 6 et 11 ans sont accueillis dans les meilleures conditions. Les repas sont gratuits, deux institutrices assurent les cours, l'association embauche également un gardie qui est Monsieur François, une bibliothécaire et une cuisinière. le tout est géré par Chloé Lemaçon et un bénévole tous deux vivant sur place..Le but à terme est de résinsérer dans le système éducatif ces enfants, une sorte de classe tremplin afin de donner un avenir à ces enfants dans un des pays les plus pauvres du monde.
06/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Petit îlot inhabité aux allures de carte postale, Nosy Fanihy est un véritable havre de paix situé face à la pointe Nord de Nosy Be. Ses eaux turquoises cernées de récifs coralliens et sa plage immaculée font la joie de tous les baigneurs en quête d’île sauvage. Nosy Fanihy est un site sacré pour le cimetière du roi Sakalava..Nota bene: les Sakalava sont très sensibles aux interdits, d'où il est important de bien respecter les fady locaux.
05/01/2014
Julien Danielo
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    • Ce dimanche, cette maman apportait sa fille, souffrante, auprès de notre hôte qui dans sa vie avait été infirmière en France.
05/01/2014
Julien Danielo
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05/01/2014
Julien Danielo
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04/01/2014
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02/01/2014
Julien Danielo
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04/01/2014
Julien Danielo
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    • Baie d'Ambatovavazy - Il s'agit du port de départ pour les trajets en pirogue en direction du Parc National de Lokobe. En cette fin de journée, au bord de la mangrove, les enfants sont nombreux à jouer, en effet en ce 2 janvier nous sommes encore en pleines vacances scolaires à Madagascar.
02/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Regardant depuis la gargote de papa Francine, les pirogues de pêche restaient sur la plage d'Andilana. Ciel couvert ce jour là, au même moment La Réunion était balayée par un cyclone.
03/01/2014
Julien Danielo
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02/01/2014
Julien Danielo
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    • Baie d'Ambatovavazy - Il s'agit du port de départ pour les trajets en pirogue en direction du Parc National de Lokobe. En cette fin de journée, au bord de la mangrove, les enfants sont nombreux à jouer, en effet en ce 2 janvier nous sommes encore en pleines vacances scolaires à Madagascar.
02/01/2014
Julien Danielo
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    • Vous le voyez ce gecko à queue plate ? Le roi du camouflage ! - Parc National de Lokobe.. Endémique de Madagascar, il vit dans les forêts tropicales humides, il imite tout ce qu'il touche (écorces, feuilles, lichens,...). Ils sont nocturnes, arboricoles et insectivores. Sur la Grande Île il est menacé par la déforestation
02/01/2014
Julien Danielo
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02/01/2014
Julien Danielo
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    • La chaleur était écrasante, vraiment obligé de mettre quelque chose sur la tête, les pirogues étaient au loin, les prendre était nécessaire pour arriver au parc National de Lokobe. Jamais je n'ai eu l'occasion de mettre mes pieds dans une eau aussi chaude, voire brûlante. Il fallait pagayer sur 3,5 km aller. Au retour, avec la marée montante, on pagayait entre les branchages.
02/01/2014
Julien Danielo
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    • Entre Marodoka et Ambatozazavavy la piste longeant le Parc National Lokobe, il n'est pas rare de croiser de nombreux caméléons, ici un mâle arborant ses couleurs de parade amoureuse.
02/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Entre Marodoka et Ambatozazavavy la piste longeant le Parc National Lokobe, il n'est pas rare de croiser de nombreux caméléons, ici un mâle arborant ses couleurs de parade amoureuse.
02/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Mariama, la présidente de l'association nous raconte comment est né son projet : « Il y a quelques années, je me suis retrouvée seule avec trois enfants. Il fallait trouver des solutions afin de payer le salaire des instituteurs et les fournitures scolaires. » Ainsi est née l’association Ravinala qui rassemble des femmes de Marodoka. Protéger l’environnement tant naturel qu’architectural figure parmi les principaux objectifs de l’association. Marodoka est en effet, le premier lieu de peuplement de Nosy Be et il y demeure de nombreux témoignages d’un riche passé historique. Ravinala a également l’ambition de défendre le patrimoine culturel et d’encadrer ses réputées brodeuses. « Un original produit touristique qui consiste en une visite-excursion de une à deux heures nous permet de concrétiser tous ces objectifs. » Une balade guidée part à la découverte de cet ancien comptoir commercial qui connut son apogée au milieu du XIXe siècle grâce au commerce des esclaves. Les Arabes y ont laissé des mosquées dont celle dite « rapide » où il est possible de faire des voeux… immédiatement exaucés !. Après avoir visité le patrimoine architectural de Marodoka nous avons été accueilli par les femmes de l'association, habillées en tenues traditionnelles, munies de leur ambio, instrument de percussion constitué de deux petites pièces de bois qui s'entrechoquent au rythme des chants. Les femmes se produisent dans différentes danses du pays, tout en dégustant djowa et tambi (gâteaux à base de farine de riz et coco) accompagnés d’une tisane qui contient toujours quatre plantes et dont seules les femmes de Marodoka ont le secret. Paraovy (balsamine), cannelle et citronnelle figuraient ce jour-là parmi les ingrédients. Quant à la quatrième, il nous faudra revenir à Marodoka et faire les yeux doux à Mariama ESCALES Nosy Be pour en percer l’ultime secret, ainsi que celui de la volonté indéfectible qui l’anime pour améliorer son sort et celui de ses congénères. .
02/01/2014
Julien Danielo
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    • 4928 x 3264 pixels
    • Mariama, la présidente de l'association nous raconte comment est né son projet : « Il y a quelques années, je me suis retrouvée seule avec trois enfants. Il fallait trouver des solutions afin de payer le salaire des instituteurs et les fournitures scolaires. » Ainsi est née l’association Ravinala qui rassemble des femmes de Marodoka. Protéger l’environnement tant naturel qu’architectural figure parmi les principaux objectifs de l’association. Marodoka est en effet, le premier lieu de peuplement de Nosy Be et il y demeure de nombreux témoignages d’un riche passé historique. Ravinala a également l’ambition de défendre le patrimoine culturel et d’encadrer ses réputées brodeuses. « Un original produit touristique qui consiste en une visite-excursion de une à deux heures nous permet de concrétiser tous ces objectifs. » Une balade guidée part à la découverte de cet ancien comptoir commercial qui connut son apogée au milieu du XIXe siècle grâce au commerce des esclaves. Les Arabes y ont laissé des mosquées dont celle dite « rapide » où il est possible de faire des voeux… immédiatement exaucés !. Après avoir visité le patrimoine architectural de Marodoka nous avons été accueilli par les femmes de l'association, habillées en tenues traditionnelles, munies de leur ambio, instrument de percussion constitué de deux petites pièces de bois qui s'entrechoquent au rythme des chants. Les femmes se produisent dans différentes danses du pays, tout en dégustant djowa et tambi (gâteaux à base de farine de riz et coco) accompagnés d’une tisane qui contient toujours quatre plantes et dont seules les femmes de Marodoka ont le secret. Paraovy (balsamine), cannelle et citronnelle figuraient ce jour-là parmi les ingrédients. Quant à la quatrième, il nous faudra revenir à Marodoka et faire les yeux doux à Mariama ESCALES Nosy Be pour en percer l’ultime secret, ainsi que celui de la volonté indéfectible qui l’anime pour améliorer son sort et celui de ses congénères. .
02/01/2014
Julien Danielo
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    • accueil à l'aéroport
31/12/2013
Julien Danielo
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    • Marodoka est le plus ancien comptoir commercial de Nosy-Be, bien avant l'arrivée des européens. Comptoir africain islamisé aux XVII e et XVIIIe siècle ou encore indien au XIXe siècle, le commerce d'épices, d'étoffes, de bois précieux mais aussi d'esclaves bat son plein. Au XXe siècle, la ville sombre dans l'oubli jusqu'à aujourd'hui où elle tente de faire découvrir son patrimoine.
02/01/2014
Julien Danielo
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    • Prise depuis le mont Passo (600 m de haut)
01/01/2014
Julien Danielo
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    • Ambatoloaka est la station balnéaire de Nosy Be, on y trouve de nombreux bars, restaurants, Hôtels de standing ou un peu moins, clubs de plongée, rappelons que ce sont les italiens qui ont lancé Nosy Be en tant que destination touristique grâce à ses spots de plongée. L'endroit est fréquenté par tout le monde, et est paradisiaque en journée. On m'a raconté qu'Ambatoloaka voulait dire ville qui vit la nuit, en effet la ville prend une tout autre image la nuit tombée, beaucoup l'appelle d'ailleurs la Sodome et Gomorrhe de Nosy Be, ça veut tout dire. Si l'ambiance est en effet bien présente notamment au Taxi Be, le bar le plus original du coin, les très nombreuses filles, dont il est souvent impossible de donner un âge, attendent le vazaha, souvent âgé, célibataire et peu attirant, la situation est assez pathétique et donne lieu a de nombreux abus. . C'est sur cette plage qu'ont eu lieu les évènements d'octobre qui ont fait le tour des médias et qui ont fait beaucoup de tort à l'île du point de vue de son image. Les effets dévastateurs de la rumeur et de la vengeance populaire sont à méditer, même en France.
01/01/2014
Julien Danielo
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31/12/2013
Julien Danielo
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    • Un dimanche matin, les hommes de Djamandjary se réunissent sur une placette au couvert d'un grand arbre, peut-être un manguier, autour d'un carré où vont s'affronter les meilleurs coqs. Avant chaque combat, les billets fusent, volent au-dessus de nos têtes, on ne comprend pas grand chose. . Chaque partie se joue en trois manches, la première est la plus longue, aucun accessoire n'est rajouté au coq, pas de griffes en métal ou autre objet de ce type. Le but est d'éjecter l'adversaire en dehors du carré, qu'il prenne la fuite. C'est pourquoi les manches 2 et 3 sont aussi courtes, le coq est épuisé. Il n'y a donc jamais de mise à mort. Le coq est ici chouchouté même s'il ne ressort pas indemne.
29/12/2013
Julien Danielo
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    • Ce dimanche après-midi, il faisait très lourd, l'entrée coûtait environ 3000 arias, les sound-systems battaient leur plein. Il a fallu attendre une heure et demie avant d'avoir le premier combat, cette attente se résumait en une interminable démonstration de virilité, d'assurance et de provocation de la part des concurrents annoncés. Les plus jeunes démarraient, rappelons qu'ils boxent à mains nues, qu'ils ont droit aux coups de jambes. Les arbitres sifflaient sans arrêt, souvent pour rien mais ils savaient arrêter le combat quand celui-ci tournait mal.
29/12/2013
Julien Danielo
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    • Morengy à Djamandjary - Répandu sur les village côtiers de l'ouest et du nord de Madagascar, le morengy, ou boxe malgache, se pratique à mains nues et est particulièrement violent. Armés d'un courage certain, les deux boxeurs, appelés fagnorolahy, s'affrontent avec comme seul objectif le KO. Mais les combats sont bien souvent arrêtés avant qu'ils ne dégénèrent. Au-delà de l'activité sportive, le morengy revêt d'abord une signification culturelle. Ce sport spectaculaire était autrefois une manière de s'entraîner au combat. Aujourd'hui, les rencontres sont accompagnées de musique traditionnelle et se déroulent sur plusieurs heures, l'occasion pour les jeunes Malgaches de soutenir leur champion local. .
29/12/2013
Julien Danielo
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30/12/2013
Julien Danielo
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    • Un dimanche matin, les hommes de Djamandjary se réunissent sur une placette au couvert d'un grand arbre, peut-être un manguier, autour d'un carré où vont s'affronter les meilleurs coqs. Avant chaque combat, les billets fusent, volent au-dessus de nos têtes, on ne comprend pas grand chose. . Chaque partie se joue en trois manches, la première est la plus longue, aucun accessoire n'est rajouté au coq, pas de griffes en métal ou autre objet de ce type. Le but est d'éjecter l'adversaire en dehors du carré, qu'il prenne la fuite. C'est pourquoi les manches 2 et 3 sont aussi courtes, le coq est épuisé. Il n'y a donc jamais de mise à mort. Le coq est ici chouchouté même s'il ne ressort pas indemne.
29/12/2013
Julien Danielo
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    • Un dimanche matin, les hommes de Djamandjary se réunissent sur une placette au couvert d'un grand arbre, peut-être un manguier, autour d'un carré où vont s'affronter les meilleurs coqs. Avant chaque combat, les billets fusent, volent au-dessus de nos têtes, on ne comprend pas grand chose. . Chaque partie se joue en trois manches, la première est la plus longue, aucun accessoire n'est rajouté au coq, pas de griffes en métal ou autre objet de ce type. Le but est d'éjecter l'adversaire en dehors du carré, qu'il prenne la fuite. C'est pourquoi les manches 2 et 3 sont aussi courtes, le coq est épuisé. Il n'y a donc jamais de mise à mort. Le coq est ici chouchouté même s'il ne ressort pas indemne.
29/12/2013
Julien Danielo
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    • Combat de coqs à Djamandjary - Madagascar. Un dimanche matin, les hommes de Djamandjary se réunissent sur une placette au couvert d'un grand arbre, peut-être un manguier, autour d'un carré où vont s'affronter les meilleurs coqs. Avant chaque combat, les billets fusent, volent au-dessus de nos têtes, on ne comprend pas grand chose. . Chaque partie se joue en trois manches, la première est la plus longue, aucun accessoire n'est rajouté au coq, pas de griffes en métal ou autre objet de ce type. Le but est d'éjecter l'adversaire en dehors du carré, qu'il prenne la fuite. C'est pourquoi les manches 2 et 3 sont aussi courtes, le coq est épuisé. Il n'y a donc jamais de mise à mort. Le coq est ici chouchouté même s'il ne ressort pas indemne.
29/12/2013
Julien Danielo
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    • Cette île se trouve juste en face de Nosy Be à une très courte distance, Réputée pour être l'île aux orchidées, cette presqu'île que vous voyez sur la photo est l'un des très rares endroits où l'on peut encore découvrir une forêt primaire car ce territoire est protégé par un fady (un interdit).
28/12/2013
Julien Danielo
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28/12/2013
Julien Danielo
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28/12/2013
Julien Danielo
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    • Sifaka de Von der Decken sur l'île de Nosy Antsoha - A mi-parcours entre Nosy-Be et Nosy Iranja se trouve cette petite île transformée en réserve de lémuriens. Les bateaux de touristes y débarquent de temps en temps et certains gardiens proposent des mangues aux animaux qui viennent se servir sans crainte. Grand lémurien diurne il est endémique de Madagascar. Bien qu'essentiellement arboricole, certains ont développé un déplacement bipède sur le sol qui leur vaut parfois le surnom de lémurien danseur. Le Sifaka a inspiré de nombreuses légendes malgaches et est un des meilleurs ambassadeurs de la diversité écologique de Madagascar.
27/12/2013
Julien Danielo
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    • Femelle Maki du parc de Nosy Antsoha
27/12/2013
Julien Danielo
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27/12/2013
Julien Danielo
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Julien Danielo
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    • Nosy Iranja - Cette île est tout simplement magnifique, située à une soixantaine de kilomètres au sud de Nosy-Be, elle est juste à côté de la Grande Terre et est constituée de deux îlots reliès par une bande sableuse. Les femmes de ce village de pêcheurs installé sur une des deux îles vivent de l'activité touristique en proposant des nappes et des paréos issus de l'artisanat malgache..
27/12/2013
Julien Danielo
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    • Pirogue de Nosy Iranja
27/12/2013
Julien Danielo
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    • Le regard - Les yeux de cette petite fille de Nosy Iranja étaient hypnotiques mais elle était surtout impressionnée par l'appareil photo. Lorsqu'elle est passée devant nous, on avait tout de suite remarqué son maki, elle a pris ensuite peur en se voyant dans l'appareil sous les rires de sa mère. Chez certains malgaches, le fait de tenir en laisse un lémurien tel un simple animal domestique pourrait être considéré comme un fady (tabou) les makis pouvant abriter l'esprit des ancêtres. Cependant tous les fadys ne concernent pas toutes les communautés malgaches.
27/12/2013
Julien Danielo
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27/12/2013
Julien Danielo
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    • La pirogue Sakalava fait partie de la grande famille des pirogues à balancier que l'on trouve principalement en Asie, en Polynésie et en Afrique de l'Est.. Les pirogues à balancier de Madagascar tirent leur origine de deux régions principales : l’arc Indonésie – Bornéo (pirogues à deux flotteurs ) et le Sri Lanka (pirogues à un seul flotteur).. Ce sont probablement des marins égarés et non des grandes migrations qui ont amené ces premières pirogues sur le littoral ouest Malgache.. Le brassage culturel, les contraintes spécifiques de l’environnement de la côte ouest, et le bon sens marin ont progressivement fait évoluer ces deux influences vers la pirogue typiquement Sakalava que nous connaissons aujourd’hui. Elle est composée d’une coque centrale étroite ( le plus souvent entre 4 et 9 mètres) constituée par un tronc creusé surmonté de plusieurs pièces de bois et planches assemblées. La forme de l’ensemble est très hydrodynamique et rappelle les gondoles Vénitiennes… et les multicoques de course moderne. .. Le flotteur, toujours à droite, est construit massivement dans un bois très léger. Il est relié à la coque par deux perches en bois extrêmement souples et solides. Le tout est habilement fixé par des cordages qui confèrent à l’ensemble une grande résistance tout en garantissant une certaine souplesse.. La pirogue moyenne comme ici est la plus courante. Elle mesure entre quatre et sept mètres et possède une forme très élaborée. Au dessus du tronc de base on trouve un assemblage de pièces de bois et de planches reliées par des clous carrés galvanisés de fabrication locale. Deux hommes suffisent à la manipuler, elle a une voile carrée ou triangulaire, et elle sert essentiellement à partir à la pêche (jusqu’à 20 km des côtes). Elle permet également d’entreprendre de véritables voyages le long de la côte avec peu de gens, mais sa faible capacité de charge (100 à 200 kg) ne lui permet pas de faire un véritable commerce. En brousse, elle représente un peu la voiture de « monsieur tout le monde »..
27/12/2013
Julien Danielo
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27/12/2013
Julien Danielo
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    • La pirogue Sakalava fait partie de la grande famille des pirogues à balancier que l'on trouve principalement en Asie, en Polynésie et en Afrique de l'Est.. Les pirogues à balancier de Madagascar tirent leur origine de deux régions principales : l’arc Indonésie – Bornéo (pirogues à deux flotteurs ) et le Sri Lanka (pirogues à un seul flotteur).. Ce sont probablement des marins égarés et non des grandes migrations qui ont amené ces premières pirogues sur le littoral ouest Malgache.. Le brassage culturel, les contraintes spécifiques de l’environnement de la côte ouest, et le bon sens marin ont progressivement fait évoluer ces deux influences vers la pirogue typiquement Sakalava que nous connaissons aujourd’hui. Elle est composée d’une coque centrale étroite ( le plus souvent entre 4 et 9 mètres) constituée par un tronc creusé surmonté de plusieurs pièces de bois et planches assemblées. La forme de l’ensemble est très hydrodynamique et rappelle les gondoles Vénitiennes… et les multicoques de course moderne. .. Le flotteur, toujours à droite, est construit massivement dans un bois très léger. Il est relié à la coque par deux perches en bois extrêmement souples et solides. Le tout est habilement fixé par des cordages qui confèrent à l’ensemble une grande résistance tout en garantissant une certaine souplesse.. La pirogue moyenne comme ici est la plus courante. Elle mesure entre quatre et sept mètres et possède une forme très élaborée. Au dessus du tronc de base on trouve un assemblage de pièces de bois et de planches reliées par des clous carrés galvanisés de fabrication locale. Deux hommes suffisent à la manipuler, elle a une voile carrée ou triangulaire, et elle sert essentiellement à partir à la pêche (jusqu’à 20 km des côtes). Elle permet également d’entreprendre de véritables voyages le long de la côte avec peu de gens, mais sa faible capacité de charge (100 à 200 kg) ne lui permet pas de faire un véritable commerce. En brousse, elle représente un peu la voiture de « monsieur tout le monde »..
27/12/2013
Julien Danielo
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27/12/2013
Julien Danielo
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27/12/2013
Julien Danielo
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    • Nosy Iranja - Cette île est tout simplement magnifique, située à une soixantaine de kilomètres au sud de Nosy-Be, elle est juste à côté de la Grande Terre et est constituée de deux îlots reliès par une bande sableuse. C'est la première fois que je voyais un ciel plus foncé que l'eau ! Cette dernière est bien entendue très chaude, environ 30°. Sur l'autre petite île se trouve un petit village ainsi qu'un phare... En voyant un tel paysage on ne peut s'empêcher de rêver à un imaginaire lié aux navigateurs et explorateurs, aux pirates des mers du sud ou encore à la Compagnie des Indes.
27/12/2013
Julien Danielo
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27/12/2013
Julien Danielo
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    • La pirogue Sakalava fait partie de la grande famille des pirogues à balancier que l'on trouve principalement en Asie, en Polynésie et en Afrique de l'Est.. Les pirogues à balancier de Madagascar tirent leur origine de deux régions principales : l’arc Indonésie – Bornéo (pirogues à deux flotteurs ) et le Sri Lanka (pirogues à un seul flotteur).. Ce sont probablement des marins égarés et non des grandes migrations qui ont amené ces premières pirogues sur le littoral ouest Malgache.. Le brassage culturel, les contraintes spécifiques de l’environnement de la côte ouest, et le bon sens marin ont progressivement fait évoluer ces deux influences vers la pirogue typiquement Sakalava que nous connaissons aujourd’hui. Elle est composée d’une coque centrale étroite ( le plus souvent entre 4 et 9 mètres) constituée par un tronc creusé surmonté de plusieurs pièces de bois et planches assemblées. La forme de l’ensemble est très hydrodynamique et rappelle les gondoles Vénitiennes… et les multicoques de course moderne. .. Le flotteur, toujours à droite, est construit massivement dans un bois très léger. Il est relié à la coque par deux perches en bois extrêmement souples et solides. Le tout est habilement fixé par des cordages qui confèrent à l’ensemble une grande résistance tout en garantissant une certaine souplesse.. La pirogue moyenne comme ici est la plus courante. Elle mesure entre quatre et sept mètres et possède une forme très élaborée. Au dessus du tronc de base on trouve un assemblage de pièces de bois et de planches reliées par des clous carrés galvanisés de fabrication locale. Deux hommes suffisent à la manipuler, elle a une voile carrée ou triangulaire, et elle sert essentiellement à partir à la pêche (jusqu’à 20 km des côtes). Elle permet également d’entreprendre de véritables voyages le long de la côte avec peu de gens, mais sa faible capacité de charge (100 à 200 kg) ne lui permet pas de faire un véritable commerce. En brousse, elle représente un peu la voiture de « monsieur tout le monde »..
27/12/2013
Julien Danielo
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    • Bazar de Hell Ville - Nosy Be
26/12/2013
Julien Danielo
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26/12/2013
Julien Danielo
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    • Djamandjar est la deuxième ville de l'île, fief de François la Banane député de Nosy Be. Ce dernier affiche d'ailleurs sur quelques bâtiments sa "générosité" en écrivant dessus en grand "don de François la Banane". Si ceci est tout à son honneur, les travaux de salubrité restent toujours aussi colossaux dans cette ville un peu sale mais très animée. Vous y découvrirez d'ailleurs prochainement un combat de coqs ou de morengy (boxe malgache). Djamandjar possède aussi les ruines de la grande distillerie. Rachetée au Brésil, entièrement démontée et reconstruite ici en 1923, l'unique distillerie qui employait une grande partie de la population de Nosy-Be a fermé définitivement ses portes dans la dernière décennie. Lorsque depuis la route on remarque au loin les vestiges encore debout, on ne peut que regretter de ne pouvoir visiter un endroit certainement les plus photogéniques de l'île. Djamandjar possède également la plus grande église de l'île, le dimanche matin, les malgaches portent leurs plus beaux atours. Vous trouverez également la maison de Wawa, le chanteur star de Nosy Be, le bâtiment de la caisse des retraites, un bâtiment forteresse et mégalomaniaque construit avec je ne sais quels fonds, les gargotes du centre sont très sympatiques, bref c'est Djamandjar !.
27/12/2013
Julien Danielo
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25/12/2013
Julien Danielo
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27/12/2013
Julien Danielo
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    • début de la saison des pluies, les orages se sauvent au petit matin
26/12/2013
Julien Danielo
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Julien Danielo
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26/12/2013
Julien Danielo