Description | Un dimanche matin, les hommes de Djamandjary se réunissent sur une placette au couvert d'un grand arbre, peut-être un manguier, autour d'un carré où vont s'affronter les meilleurs coqs. Avant chaque combat, les billets fusent, volent au-dessus de nos têtes, on ne comprend pas grand chose. . Chaque partie se joue en trois manches, la première est la plus longue, aucun accessoire n'est rajouté au coq, pas de griffes en métal ou autre objet de ce type. Le but est d'éjecter l'adversaire en dehors du carré, qu'il prenne la fuite. C'est pourquoi les manches 2 et 3 sont aussi courtes, le coq est épuisé. Il n'y a donc jamais de mise à mort. Le coq est ici chouchouté même s'il ne ressort pas indemne. |