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Fin du Moyen-âge - Guerres de Succession et de 100 ans : 1341-1453
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Au cours de la guerre de Succession de Bretagne, Jeanne de Flandres, épouse de Jean de Montfort, continue la lutte pendant la captivité de son mari. Assiégée à Hennebont par les troupes franco-bretonnes, elle parvient par son acharnement à insuffler de l’espoir aux civils et aux soldats qui défendent la ville. A la tête d’un détachement de soldats, elle tente une sortie et crée un incendie dans le campement adverse qui s’en trouve totalement désorganisé. Ayant fait ainsi diversion, elle rejoint Auray d’où elle ramène six cents soldats anglo-bretons qui libèrent la ville. Au XIXe siècle, les historiens bretons attribuent l’origine de son surnom «la Flamme » à l’épisode de l’incendie. Il semble plus probable qu’il soit dû à ses origines flamandes et que l’épisode ait servi sous la plume de Froissard, puis bien plus tard, de la Borderie, à glorifier un sentiment national.
Modèles, costumes et campement : Tyvarlen, La Mesnie de Penhoët, Obliti Milites, Les Tard-Venus, Ar Soudarded, Association Roi Uther, la Mesnie Enguerrand, Alliance des Lions d'Anjou, Emptivus Miles, Ondrej Benda.
Site : Château de Tiffauges (85)
1342 – Jeanne la Flamme
28/09/2019
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Le Quatre-cent-vingt-et-un est bien connu au Moyen-âge, en témoignent indirectement les représentations de sa suite opposée, le six-cent-cinquante-trois sur bon nombre d’œuvres dont la tapisserie de l’Apocalypse. Le Quatre-cent-vingt-et-un est la suite parfaite dont le total est le chiffre symbolique sept ; six-cent-cinquante-trois symbolise la tricherie. En France, les jeux de hasard sont même interdits pendant quelques années par une ordonnance du roi. Décision difficile à appliquer, la seule distraction restante et recommandée devenant le maniement des armes afin de préparer la guerre.
La guerre de Succession de Bretagne qui dure de 1341 à 1364 porte aussi le nom de guerre des deux Jeanne. Jeanne la Flamme représentant son mari Jean de Montfort, prisonnier du roi de France, fait face à Jeanne de Penthièvre nièce du Duc précédent et épouse de Charles de Blois. Le conflit a lieu sous le regard des rois de France et d’Angleterre chacun soutenant un parti pour la conquête du duché. Les trésors, ducal d’une part et royal français de l’autre, financent une guerre dont la dernière manche se joue à la bataille d’Auray en 1364.
Modèles et Costumes : Tyvarlen, Les Tard-Venus et Ar Soudarded
Site : Pont-Croix 1358 (29)
1343 - La symbolique du Quatre-cent-vingt-et-un, une allégorie de la guerre des deux Jeanne
20/04/2019
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Une quinzaine de mois après le début de la Guerre de Succession de Bretagne, l’armée française soutenant Jeanne de Penthièvre et Charles de Blois fait face à l’armée anglaise qui soutient Jeanne de Flandres et Jean de Monfort. Sur fond de Guerre de 100 ans, les deux armées se toisent dans la campagne malestroyenne, la première est en sous-effectif mais équipée et disciplinée tandis que la seconde est plus nombreuse et moins bien organisée. C’est alors que le pape dépêche deux légats pontificaux qui vont convaincre les anglo-bretons et franco-bretons d’effectuer des pourparlers afin d’aboutir à une trêve et pourquoi pas organiser ensemble une nouvelle croisade. La trêve est signée par les représentants des rois respectifs à la chapelle de la Madeleine, faubourg de Malestroit. La paix va durer plus de deux ans, jusqu’à ce que le roi de France exécute de grands seigneurs bretons pour trahison à l’instar d’Olivier IV de Clisson. A partir de ce moment les hostilités reprennent.
Site : Chapelle de la Madeleine à Malestroit
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1343 - La trève de Malestroit
29/05/2023
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L’histoire de Jeanne de Belleville, épouse d’Olivier IV de Clisson, a largement été romancée à partir du XVIIIe siècle, alimentant la légende de la pirate vengeresse. Déçu, diriez-vous ? En 1343, le roi de France soupçonne Clisson, son mari, de s’être rallié à l’Angleterre dans le jeu d’alliances qui secoue la Bretagne alors en pleine guerre. Invité par le roi à un tournoi à Paris, Clisson est exécuté et sa tête dressée au bout d’une pique. Jeanne se lance alors dans une guerre privée contre le roi de France anéantissant plusieurs châteaux. Afin d’assurer sa défense ainsi que la protection de ses enfants, elle entreprend de rejoindre l’Angleterre probablement depuis Bourgneuf. La chronique normande, unique source faisant mention de ce voyage, ne relate que l’exécution de plusieurs marchands, c’est tout. C’est à partir de cette simple mention que les historiens des XVIIIe et XIXe siècles vont créer la légende, comblant les vides de l’Histoire : une noble devenue pirate, un navire amiral nommé Ma Vengeance, l’admiration sans borne de son équipage, l’abordage, la fuite et la dérive de son embarcation de secours, la mort de son plus jeune fils, n’ont aucun fondement historique. Jeanne n’en demeure pas moins une femme courageuse et opiniâtre, soucieuse de la préservation de l’héritage de ses enfants.
Modèles et costumes : Les Tard-Venus
Site : El Galéon, en escale à Nantes (44)
1344 – Jeanne de Belleville – une pirate vengeresse ?
30/06/2018
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C’est en 1349 que la peste arrive en Bretagne, deux ans après son arrivée en Europe dans les ports de Constantinople, Gênes et Marseille, profitant des multiples connexions entre Orient et Occident. Les rats et leurs puces sont les vecteurs de la maladie qui va tuer environ 1/3 de la population européenne. Alors que l’aristocratie et la bourgeoisie ont quitté la ville, le peuple de Quimper subit de plein fouet l’épidémie. Santig Du, un moine franciscain, vient alors en aide à la population en distribuant des vivres et en s’occupant des cadavres qui jonchent les rues. Le médecin tient un rôle important en période d’épidémie malgré son ignorance des origines de la maladie, il porte un masque, se tient à distance et vérifie les urines du pestiféré qui présente le bubon caractéristique de la peste.
Site : Village de Pont-Croix 1358 et cathédrale de Quimper
Figurants : Orian Josnin, Kentigwern Jaouen et Erwan Morzadec
1349 – Un médecin accompagné de Santig Du, au chevet d’un pestiféré.
27/05/2023
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1351 - Chevalier du Combat des Trente
28/05/2023
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Perrot de Commelan
1351 - Chevalier du Combat des Trente
28/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Modèles et costumes : Storm Squad, Emmanuel Bertrand, et les Tard-Venus.
Site : Landes de Lanvaux – Grandchamp (56)
1351 - Le Combat des Trente
25/02/2017
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
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Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
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1355 - Le fauconnier du roi
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Au XIVe siècle, Jean de Sérent, seigneur de Tromeur, est le fils d’Olivier et de Gilette de Malestroit. Il est connu pour être un des participants du célèbre Combat des Trente. Sollicité par Jean de Beaumanoir pour affronter comme écuyer le parti anglo-breton, il en sort victorieux, comme ses camarades. En 1356, il commande une compagnie d’écuyers servant sous les ordres de Thibault III sire de Rochefort, capitaine de mille hommes d’armes ainsi que de cinq cents archers. En 1363, il est fait chevalier par Charles de Blois, le prétendant français au trône ducal, probablement sur le champ de bataille de Bécherel. Sérent est également connu pour être fauconnier et garde des oiseaux du roi de France. Dans son manoir de Sérent, il prend soin de ses rapaces : faucons, autours des Palombes.
1355 – Jean de Sérent, fauconnier du roi
28/06/2020
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Au XIVe siècle, Jean de Sérent, seigneur de Tromeur, est le fils d’Olivier et de Gilette de Malestroit. Il est connu pour être un des participants du célèbre Combat des Trente. Sollicité par Jean de Beaumanoir pour affronter comme écuyer le parti anglo-breton, il en sort victorieux, comme ses camarades. En 1356, il commande une compagnie d’écuyers servant sous les ordres de Thibault III sire de Rochefort, capitaine de mille hommes d’armes ainsi que de cinq cents archers. En 1363, il est fait chevalier par Charles de Blois, le prétendant français au trône ducal, probablement sur le champ de bataille de Bécherel. Sérent est également connu pour être fauconnier et garde des oiseaux du roi de France. Dans son manoir de Sérent, il prend soin de ses rapaces : faucons, autours des Palombes.
1355 – Jean de Sérent, fauconnier du roi
28/06/2020
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Au XIVe siècle, Jean de Sérent, seigneur de Tromeur, est le fils d’Olivier et de Gilette de Malestroit. Il est connu pour être un des participants du célèbre Combat des Trente. Sollicité par Jean de Beaumanoir pour affronter comme écuyer le parti anglo-breton, il en sort victorieux, comme ses camarades. En 1356, il commande une compagnie d’écuyers servant sous les ordres de Thibault III sire de Rochefort, capitaine de mille hommes d’armes ainsi que de cinq cents archers. En 1363, il est fait chevalier par Charles de Blois, le prétendant français au trône ducal, probablement sur le champ de bataille de Bécherel. Sérent est également connu pour être fauconnier et garde des oiseaux du roi de France. Dans son manoir de Sérent, il prend soin de ses rapaces : faucons, autours des Palombes.
Bertrand du Guesclin est âgé de trente-sept ans lorsqu’il se fait adouber chevalier à Montmuran en 1357. Fils ainé du seigneur de la Motte-Broons, Du Guesclin est issu d’une branche cadette de la petite noblesse bretonne. Les historiens brossent le portrait d’un homme laid et brutal, méprisé par ses parents mais qui gagne leur respect par son tempérament et ses prouesses aux tournois.
A trent-quatre ans, il prend part à la guerre de Succession de Bretagne et soutient le parti franco-breton. Il s’est acquis l’admiration de ses pairs à Rennes et, devenu chevalier, il mène une guerre d’embuscade aux franges de la forêt de Brocéliande. A la fin de la guerre en 1364, il devient capitaine des armées du roi de France et s’en va combattre les troupes de mercenaires qui ravagent le sud de la France. Dans ce même château de Montmuran, il se marie en secondes noces à Jeanne de Laval en 1374. Il devient seigneur de Montmuran jusqu’à sa mort en 1380.
Modèles : Les Tard-venus
Site : Château de Montmuran - Les Iffs (35).
1357 - Du Guesclin porté en triomphe à Montmuran
20/10/2018
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La ville de Dinan est assiégée par les troupes anglaises, elle est défendue par Du Guesclin. La situation dure au point qu’il est décidé d’une trêve, chacun pouvant se déplacer à son gré. C’est alors que le frère du futur connétable est capturé par Thomas de Cantorbéry au mépris des conditions de la trêve. Sa libération ne peut se faire qu’à la conclusion d’un duel entre Du Guesclin et Cantorbéry. Le chevalier breton en sort vainqueur sous les vivats du peuple et de Tiphaine sa future épouse. Cette dernière, experte en astrologie, avait prédit sa victoire et ses gloires futures. L’humiliation est cinglante pour Cantorbery. Le triomphe est d’autant plus grand pour Du Guesclin que le duc de Lancastre accepte de participer au banquet de la victoire et de lever le siège de Dinan.
Modèles et costumes : Les Tard-Venus
Site : Château de Saint-Mesmin (85)
Tous souhaitent que la bataille soit décisive en ce jour de septembre 1364. Elle doit clore vingt-trois années de combat acharné opposant les partisans de Jean de Montfort à ceux de Charles de Blois. Les plus grands chevaliers y sont présents : Bertrand Du Guesclin, Olivier de Clisson, Robert Knolles, John Chandos, Jean III de Châlons-Auxerre. Ils commandent sur le terrain environ 7000 hommes.
Le château d’Auray est un point stratégique sur la carte du duché, occupé par les franco-bretons de Charles de Blois. Il est pour les anglo-bretons un obstacle au contrôle de tout le littoral sud de la Bretagne. Le jour de la Saint-Michel, les armées s’affrontent dans une plaine au nord d’Auray, le corps à corps tourne à l’avantage des montfortistes, appuyés par l’arrière-garde anglaise. Le corps de Charles de Blois est retrouvé inerte sur le champ de bataille. Les circonstances de sa mort restent mystérieuses. A l’issu de cet épisode de la guerre de Succession, Jean de Montfort devient le duc Jean IV de Bretagne.
Modèles et costumes : Emptivus Miles, Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites
Site : Tiffauges (85)
1364 - La Bataille d'Auray
29/09/2019
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L’allégresse de Pâques ouvre le mois festif des divertissements de mai, célébrant le renouveau de la nature. On rit, on danse, on chante, on boit pour marquer la joie d’être ensemble car les temps précédents ont été durs, à la guerre de Succession, s’est ajoutée la peste noire. Le premier traité de Guérande en avril 1365 clôt en partie le conflit avec l’arrivée du parti des Montfort à la tête du duché. La Bretagne peut enfin panser ses plaies et se reconstruire. La plupart des seigneuries sont de taille modeste et l’architecture du domaine seigneurial reste en grande partie en bois et torchis : tour de garde, moulin, four, corps de logis, palissade de défense font partie du paysage avant que tout cela ne laisse progressivement place au manoir en pierre.
Modèles et costumes : Tyvarlen, Ar Soudarded et Tard-Venus.
Site : Archéosite de Pont-Croix 1358 (29)
1365 - La fête après la guerre de Succession
20/04/2019
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L’allégresse de Pâques ouvre le mois festif des divertissements de mai, célébrant le renouveau de la nature. On rit, on danse, on chante, on boit pour marquer la joie d’être ensemble car les temps précédents ont été durs, à la guerre de Succession, s’est ajoutée la peste noire. Le premier traité de Guérande en avril 1365 clôt en partie le conflit avec l’arrivée du parti des Montfort à la tête du duché. La Bretagne peut enfin panser ses plaies et se reconstruire.
1365 - La fête après la guerre de Succession
20/04/2019
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
24/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
24/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
23/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
23/09/2023
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La période qui suit se révèle très instable. Même si le premier traité de Guérande reconnaît Jean IV de Montfort comme duc de Bretagne, la rivalité entre le duché et le royaume de France demeure. Le duc doit accepter l’arrivée des troupes anglaises sur son sol puisque la guerre de Cent Ans continue en France. La noblesse bretonne s’y oppose, la France envoie des troupes et oblige le duc à s’exiler. Le duché, confisqué par le roi de France, est occupé par les Français. La population bretonne cherchant la neutralité entre les deux partis, la noblesse rappelle Jean IV de Montfort.
C’est là qu’un contingent de du Guesclin part faire le siège du château de Fort-la-Latte en 1379. Malgré un effectif peu important et une résistance active, la forteresse est prise.
Le roi Charles V, voyant se renforcer le désir de neutralité des Bretons, signe avec le duc le second traité de Guérande consacrant la neutralité du duché et l’hommage féodal au roi de France. Fort-la-Latte, appelé à l’époque La Roche-Goyon, est finalement rendu à son propriétaire en 1381.
La période qui suit se révèle très instable. Même si le premier traité de Guérande reconnaît Jean IV de Montfort comme duc de Bretagne, la rivalité entre le duché et le royaume de France demeure. Le duc doit accepter l’arrivée des troupes anglaises sur son sol puisque la guerre de Cent Ans continue en France. La noblesse bretonne s’y oppose, la France envoie des troupes et oblige le duc à s’exiler. Le duché, confisqué par le roi de France, est occupé par les Français. La population bretonne cherchant la neutralité entre les deux partis, la noblesse rappelle Jean IV de Montfort.
C’est là qu’un contingent de du Guesclin part faire le siège du château de Fort-la-Latte en 1379. Malgré un effectif peu important et une résistance active, la forteresse est prise.
Le roi Charles V, voyant se renforcer le désir de neutralité des Bretons, signe avec le duc le second traité de Guérande consacrant la neutralité du duché et l’hommage féodal au roi de France. Fort-la-Latte, appelé à l’époque La Roche-Goyon, est finalement rendu à son propriétaire en 1381.
Modèles et costumes : Les Tard-Venus
Site : Château de Fort-la-Latte avec l’aimable autorisation de la famille Jouon des Longrais (22)
1379 - Un contingent de du Guesclin prend Fort-la-Latte