En cliquant sur Envoyer, vous pourrez réinitialiser votre mot de passe.
Recherche par mots clés
Fin du Moyen-âge - Guerres de Succession et de 100 ans : 1341-1453
115 Médias
_dsc9718.jpg
7360 x 4912 pixels
_dsc9718.jpg
23/09/2023
_dsc9744.jpg
4912 x 4912 pixels
_dsc9744.jpg
23/09/2023
_dsc9790.jpg
7360 x 4912 pixels
_dsc9790.jpg
23/09/2023
_dsc9870.jpg
7360 x 4140 pixels
_dsc9870.jpg
23/09/2023
_dsc9913.jpg
4912 x 4912 pixels
_dsc9913.jpg
28/05/2022
_dsc0094.jpg
6535 x 3676 pixels
_dsc0094.jpg
24/09/2023
_dsc0144.jpg
7360 x 4912 pixels
_dsc0144.jpg
28/05/2022
_dsc0171.jpg
7173 x 4787 pixels
_dsc0171.jpg
29/05/2022
_dsc0193.jpg
7173 x 4787 pixels
_dsc0193.jpg
29/05/2022
_dsc9928.jpg
4912 x 7360 pixels
_dsc9928.jpg
23/09/2023
_dsc9938.jpg
4912 x 7360 pixels
_dsc9938.jpg
23/09/2023
_dsc5920.jpg
4912 x 7360 pixels
La première mention de poudre à canon en Bretagne date de 1361, au sud de la Loire, au Loroux-Bottereau, Aliénor de Thouars acheta en petite quantité, de la poudre pour des canons. En 1380, l’Angleterre ravitaillait conséquemment ses garnisons basées au château de Brest. Olivier de Clisson, pour fabriquer de l’artillerie à Blain, fit appel à Pierre de Lussenbourgc en 1392. Le nord de la Bretagne, hormis Brest, est quant à lui équipé en artillerie vers 1400. Les inventaires après-décès de Jean IV (1399), signalent que les forteresses de Vannes et Auray sont déjà pourvues en artillerie à combustion.
On sait que Jean IV de Bretagne loua les services de deux canonniers en 1386, Perrot Le Potier et Guillaume Julou. En 1391, Guillaume Carnac, garde de l’artillerie du duc, supervise la fabrication des canons. C’est l’année suivante, un de ses proches parents qui lui succède pour équiper le château de Nantes. On sollicite alors des forgerons, des charretiers, des charpentiers et des fournisseurs de différentes matières premières : charbon, savon, cordages, cuir et bien sûr poudre à canon. Cet équipement est révélateur des ambitions militaires du premier représentant de la dynastie Monfort.
Figurant : Maisnie de l'Hermine
Les Médiévales de Tiffauges 1371 le siège de la forteresse
1391 - Couple d'aristocrates italiens
25/09/2022
_dsc5628.jpg
7360 x 4140 pixels
La première mention de poudre à canon en Bretagne date de 1361, au sud de la Loire, au Loroux-Bottereau, Aliénor de Thouars acheta en petite quantité, de la poudre pour des canons. En 1380, l’Angleterre ravitaillait conséquemment ses garnisons basées au château de Brest. Olivier de Clisson, pour fabriquer de l’artillerie à Blain, fit appel à Pierre de Lussenbourgc en 1392. Le nord de la Bretagne, hormis Brest, est quant à lui équipé en artillerie vers 1400. Les inventaires après-décès de Jean IV (1399), signalent que les forteresses de Vannes et Auray sont déjà pourvues en artillerie à combustion.
On sait que Jean IV de Bretagne loua les services de deux canonniers en 1386, Perrot Le Potier et Guillaume Julou. En 1391, Guillaume Carnac, garde de l’artillerie du duc, supervise la fabrication des canons. C’est l’année suivante, un de ses proches parents qui lui succède pour équiper le château de Nantes. On sollicite alors des forgerons, des charretiers, des charpentiers et des fournisseurs de différentes matières premières : charbon, savon, cordages, cuir et bien sûr poudre à canon. Cet équipement est révélateur des ambitions militaires du premier représentant de la dynastie Monfort.
Figurant : Maisnie de l'Hermine
Les Médiévales de Tiffauges 1371 le siège de la forteresse